🧩 Le cas Telefónica x VMware : un signal fort pour le marché secondaire des licences d’occasion

🧩 Le cas Telefónica x VMware : un signal fort pour le marché secondaire des licences d’occasion

Un vent nouveau souffle sur l’optimisation IT.

Et cette fois, il ne vient pas d’une startup innovante…

Mais d’un géant mondial des télécommunications : Telefónica.

Récemment, l’opérateur espagnol a fait un choix stratégique fort :

📉 Contre l’inflation induite par le rachat de VMware par Broadcom, il a privilégié l’achat de licences d’occasion.

Une décision rare, courageuse — et surtout très instructive pour le reste du marché.

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🧠 Pourquoi cette décision change (discrètement) les règles du jeu

Alors que les clients VMware subissent actuellement une profonde transformation de leurs contrats, de leurs conditions tarifaires et de leur modèle de support, Telefónica a pris une voie alternative :

✔️ Renégociation impossible ?

✔️ Coûts en hausse ?

✔️ Modèle SaaS imposé ?

🔁 Solution : tirer parti du marché secondaire des licences on-premise encore valides, en conformité avec les règles européennes, notamment l’arrêt UsedSoft vs. Oracle.

Ce mouvement confirme que le marché secondaire des licences n’est plus un tabou. Il devient un outil de souveraineté logicielle.

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📊 Ce que cela révèle sur l’évolution du secteur logiciel

Ce cas emblématique valide plusieurs signaux faibles déjà à l’œuvre :

        • Les entreprises veulent reprendre le pouvoir sur leur modèle de consommation IT

        • Le coût total de possession (TCO) est redevenu une priorité dans un contexte d’inflation

        • Le cloud “imposé” ou forcé ne séduit plus autant, notamment dans les infrastructures critiques

        • Le marché secondaire devient une réponse concrète à l’obsolescence programmée des modèles de licence

Ce n’est plus une simple tactique de crise.

C’est une stratégie proactive d’optimisation budgétaire et de continuité opérationnelle.

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🌍 Pourquoi c’est une excellente nouvelle pour tout l’écosystème

Chez Softcorner, nous voyons dans ce mouvement un signal fort — et optimiste :

🔹 Les grandes entreprises ouvrent la voie.

Ce qui était parfois perçu comme “risqué” ou “non stratégique” devient un acte de gestion raisonnée, défendable en comité de direction.

🔹 Les directions IT reprennent le contrôle.

Le marché secondaire n’est plus un pis-aller. C’est un levier de flexibilité, d’agilité budgétaire et même, parfois, de résilience opérationnelle.

🔹 Un effet domino est à prévoir.

Comme souvent dans le monde B2B, les premiers movers créent une dynamique. Et le cas Telefónica risque fort d’en inspirer d’autres, notamment parmi les groupes soumis à des plans de sobriété numérique ou à des arbitrages budgétaires plus stricts.

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🧭 Que peut faire votre entreprise aujourd’hui ?

Si vous utilisez des logiciels comme VMware, SAP, Oracle ou Microsoft, trois options s’offrent à vous :

        1. Revendre vos licences inutilisées ou décommissionnées

→ Libérer du budget, simplifier votre inventaire, rester en conformité.

        2. Acheter des licences d’occasion pour contourner les hausses de prix

→ Réduire vos coûts d’acquisition de 30 à 70 %, tout en conservant vos architectures actuelles.

        3. Structurer une politique interne d’optimisation logicielle

→ Vous doter d’un réflexe marché secondaire dans vos appels d’offres ou vos revues contractuelles.

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Conclusion

🎯 L’initiative de Telefónica est bien plus qu’une anecdote dans la guerre commerciale post-Broadcom.

C’est une preuve par l’exemple que le marché secondaire est une option stratégique, légale, et économiquement viable.

Pour celles et ceux qui souhaitent reprendre le contrôle,

📩 il est peut-être temps d’explorer sérieusement cette alternative.

Et si vous avez des licences inutilisées ou des besoins ponctuels…

Softcorner est là pour vous accompagner.